mardi 18 mars 2008

Romansgroove (1975)





A court momentané de Drina (après la lecture du premier j'en avais commandé un stock devrant courvir toute la série, mais je me suis aperçue après réception qu'au fil des décennies beaucoup de volumes ont été ré-édités sous un nom différent, ce qui fait que j'en ai certains en double et qu'il m'en manque complètement d'autres, néanmoins j'ai bien lu les cinq premiers...), bref à court momentané de Drina, j'ai ouvert Romansgrove, beaucoup plus tardif puisque de 1975 (Drina c'est la fin des années 50). Ce qui me fait penser en l'écrivant que lorsque j'avais 13 ans, en 1975 justement, la fin des années 50 me semblait aussi reculées que la Préhistoire, alors que quinze ans c'est vraiment rien du tout du tout.

Donc Romansgrove. C'est vraiment parce que j'avais rien d'autre à lire, j'étais pas emballée. Les illustrations de la couverture n'aidaient pas, et le résumé encore moins : des enfants emménagent à la campagne, et au gré d'une promenade se retrouvent soudain dans le passé. Oh la la ça sentait la Mabel Esther Allan en mal d'inspiration ou pousssée à se renouveler dans un genre qui n'est pas le sien par un éditeur, ça avait l'air nul.

Et finalement : pas mal du tout ! Très intéressant... Et même franchement enthousiasmant.

mardi 22 janvier 2008

Drina !



La série des Drina, par Jean Estoril. Hé oui, Jean Estoril n'est que l'un des l'un des pseudonymes de Mabel Esther Allan !

Drina, l'héroîne de la série, est une petite anglaise, qui toute petite, est sensible à la musique, qui l'emplit de poésie et lui inspire des mouvements en harmonie avec celle-ci. Malheureusement sa grand-mère, qui l'élève depuis que ses parents sont décédés dans un accident d'avion, n'est pas encline à la laisser donner libre cours à cette inspiration. Lorsque Drina sera un peu plus grande et rencontrera une nouvelle amie qui lui fait connaître un cours de danse local, la grand-mère fera obstacle de même. Cette grand-mère est pourtant attentive et aimante, mais manifestement elle est opposée à ce que Drina fasse de la danse. Devant l'obstination de sa petite-fille la grand-mère cédera mais "juste comme distraction". Drina ne l'entend pas ainsi, la danse est devenue pour elle une passion, elle dévore en secret des romans de danse.